Cette photo est le résultat d'un très beau moment passé entre un papa et son fils l'avant veille de Noël... Je vous l'offre, nous, on la mangera, ce soir!
Bon Noël!
8 commentaires:
Lise
a dit…
Une maison en pain d'épice, comme dans le conte de Hansel et Gretel! Miam! Papa et son fils ont bien travaillé et méritent de se régaler.
Toi de même Lise... Je suis en train d'emballer un dernier cadeau et j'ai des p'tits scotch tape de collé partout!
En fait c'est un bout de scotch tape sur un doigt, un p'tit scotch derrière la cravate, un p'tit scoth tape sur l'autre doigt, un p'tit scotch derrière la cravate...
C'est la plus jolie maison en pain d'épices que j'ai jamais vue de ma vie. Parce que ce projet père-fils, aucun architecte, aucun menuisier, aucun pâtissier n'aurait pu mieux le réussir.
Joyeux Noël et Bon appétit, à toi, à fiston, et à celle qui partagera l'honneur de s'en régaler avec vous deux.
Ça, c'est encore un beau conte de Noël, un vrai, comme je les aime.
J'arrive un peu tard pour goûter mais je l'aurai vu ce joli symbole de Noël. J'espère que le nouvel an sera aussi agréable que cette charmante petite maison. ;-)
Bonne soirée, sincères pensées. Do qui se remet d'un méchant virus. ;-(
À défaut d’avoir la haute vitesse, voici, comme promis sur mon blog, les paroles d’une fort belle chanson.
À bientôt. Bises chaleureuses. Bonne et heureuse année. Do.
Bourvil
La tendresse
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y'en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Être inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n'en est pas question Non, non, non, non Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire Mais s'il faut rester Des semaines sans rien faire Eh bien... on s'y fait Mais vivre sans tendresse Le temps vous paraît long Long, long, long, long Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse Naissent les plaisirs Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir Oui mais sans la tendresse L'amour ne serait rien Non, non, non, non L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu Alors sans la tendresse D'un cœur qui nous soutient Non, non, non, non On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse Parce qu'on le rend heureux Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Dans votre immense sagesse Immense ferveur Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos cœurs Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours ....
Pour aider à soulager les maux d'hiver... Le fameux thé algonquin La recette de Zoreilles : -Gingembre râpé en bonne quantité -Eau bouillante -Miel Les ajouts de Rosie : -Clou de girofle -Paprika
Personnellement, j'y suis allé avec la recette complète incluant le girofle et le paprika. C'est très réconfortant et ça a très bon goût!
La question du rôle qu'a pu jouer la classe ouvrière en tant qu'agent de changement social est difficile à trancher en théorie et se révèle encore plus complexe dans la pratique.
8 commentaires:
Une maison en pain d'épice, comme dans le conte de Hansel et Gretel! Miam! Papa et son fils ont bien travaillé et méritent de se régaler.
:-)
Bon Noël avec les tiens Gérard!
Toi de même Lise... Je suis en train d'emballer un dernier cadeau et j'ai des p'tits scotch tape de collé partout!
En fait c'est un bout de scotch tape sur un doigt, un p'tit scotch derrière la cravate, un p'tit scoth tape sur l'autre doigt, un p'tit scotch derrière la cravate...
Le chapin commenche à être croche!
C'est la plus jolie maison en pain d'épices que j'ai jamais vue de ma vie. Parce que ce projet père-fils, aucun architecte, aucun menuisier, aucun pâtissier n'aurait pu mieux le réussir.
Joyeux Noël et Bon appétit, à toi, à fiston, et à celle qui partagera l'honneur de s'en régaler avec vous deux.
Ça, c'est encore un beau conte de Noël, un vrai, comme je les aime.
Ça a l'air succulent ! Un très Noyeux Jowell à vous
Merci Henri et Zoreilles... Je vous retourne les voeux...
Entre vous et moi (chut, faut pas le dire) c'est pas vraiment succulent...
Comme dirait mon beau-père, "les joints sont rough"! :-)
Mais dans ce cas précis, le processus en valait pleinement le résultat!!!
C'est dans ce genre de gestes que réside la vraie signification de Noël...
Aussi... J'me coucherai pas tard à souère!;-)
Bonsoir Gérard,
J'arrive un peu tard pour goûter mais je l'aurai vu ce joli symbole de Noël. J'espère que le nouvel an sera aussi agréable que cette charmante petite maison. ;-)
Bonne soirée, sincères pensées. Do qui se remet d'un méchant virus.
;-(
Bonsoir Gérard,
À défaut d’avoir la haute vitesse, voici, comme promis sur mon blog, les paroles d’une fort belle chanson.
À bientôt. Bises chaleureuses. Bonne et heureuse année. Do.
Bourvil
La tendresse
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours ....
Merci Do,
Ce texte est vraiment touchant d'autant que j'ai toujours aimé Bourvil, aussi...
Bon temps!
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